C'est en écrivant qu'on devient écriveron (Raymond Queneau)

C'est en écrivant qu'on devient écriveron (Raymond Queneau)
"C'est en écrivant qu'on devient écriveron" (Raymond Queneau)

sabato 19 novembre 2011

[Le Journal de Valérie Debieux] La mia Italia, i ricordi, la lingua

                                                                                             (in basso la traduzione)
Merci à Gianfranco de m’inviter comme hôte sur son blog. Je devais avoir 6 ans la première fois que je me suis rendue en Italie. Et je me souviens particulièrement de Venise. Nous allions souvent en vacances au bord de l’Adriatique. Si je ne parle pas italien, je pense que mon oreille en a capté la musicalité depuis fort longtemps. Et puis. J’ai toujours aimé le cinéma italien (« Il postino », « Cinema Paradiso » et « La vita è bella »). Enfant, j’ai été naturellement émerveillée par le conte de Pinocchio et par le film de Luigi Comencini. Comme tous les enfants de mon âge. En grandissant, j’ai appris à me familiariser davantage à la culture de ce pays en visitant, la Sardaigne, l’Île d’Elbe, la Sicile, la Toscane, la Vénétie et tout récemment, sa capitale. Aujourd’hui, voilà que je traduis le livre d’un ami écrivain, pour moi-même, afin de pouvoir le lire dans sa version originale. Je ne pensais pas que je me mettrais à traduire un jour un ouvrage mais la curiosité de découvrir une autre langue, une autre culture est parfois plus forte. Je me suis donc lancée et j’y ai pris goût. Chaque jour, je traduis un chapitre. Ainsi, je vais vous parler de ma lecture (Opus Reticulatum) et vous en raconter ma perception. À bientôt et bon dimanche…

traduzione
Ringrazio Gianfranco per avermi invitato come ospite sul suo blog. Avevo 6 anni la prima volta che sono stata in Italia. Mi ricordo in modo particolare di Venezia. Andavamo spesso in vacanza sull’Adriatico. Anche se non parlo italiano penso che il mio orecchio ne ha racchiuso la musicalità da molto tempo. E poi, ho sempre amato il cinema italiano (“Il postino”, “Cinema Paradiso” e “ La vita è bella”). Da piccola, naturalmente mi hanno meravigliato Pinocchio e il film che ne ha tratto Luigi Comencini. Come tutti i ragazzi della mia età. Crescendo, ho imparato a familiarizzare, in primo luogo, con la cultura di questo paese visitando la Sardegna, l’Isola d’Elba, la Sicilia, la Toscana e recentemente, la capitale. Oggi, eccomi a tradurre il libro di un amico scrittore, solo per me, per poterlo leggere nella sua versione originale. Non avrei ai pensato che un giorno mi sarei messa a tradurre un libro, ma la curiosità di scoprire un’altra lingua, un’altra cultura è, a volte, più forte. Ci ho provato e ci ho preso gusto. Ogni giorno traduco un capitolo. Vi parlerò, allora, della mia lettura di Opus Reticulatum e vi racconterò delle mie sensazioni.
A presto e buona domenica…
Valérie Debieux (trad. G. B.)

Nessun commento:

Posta un commento